Titre présent sur l’album « Il est tant π »
État d’avancement
Paroles : 100%
Composition : 0%
Enregistrement : 0%
Postproduction : 0%
Chanson terminée à 25%
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Paroles
Statu quo
D’une autochtone
Confinée par les eaux, trempée tard un soir
Dans le fond de l’air vernaculaire il tonne
Une monade, au crépuscule immobile
Une infime impulsion, d’une néguentropie subtile
Agite les atomes glacés de mon corps entier
Mes liens se cassent, je perds les miens
Je passe
Pour un gaz, vibrant sur les ondes
Le fantôme d’Alcatraz, abhorrant les marronniers du monde
Où
J’ai fait le tour, je veux sortir
Où
Elargir la sphère, me projeter derrière, le devant
Où
Je fais des tours, je veux sortir
Où
Elargir les sphères, me projeter derrière, les devants
Tout
Vers d’infinis tours, je n’en sors plus – du
Tout
D’un faisceau de matière, au Scopitone qui fait
Tout
De l’inconnu, où les retours n’existent plus – du
Tout
Où tout est une fois, je prends la tangente
Sans bien, sans mal
Où tout est une fois, je prends la tangente
En vecteur vital